Accueil: 


La cosmologie du plasma

Introduction

A la suite de découvertes récentes, une nouvelle façon de voir l'univers physique émerge. Le nouveau point de vue met l'accent sur le rôle de l'électricité dans l'espace et démontre montre le rôle négligeable et circonscrit de la gravité dans les événements cosmiques. Les images fournies par des télescopes puissants et des sondes spatiales récentes ont mis au défi les hypothèses des astronomes sur les galaxies et les étoiles qui les constituent, sur l'évolution de notre système solaire et sur la nature et l'histoire de la Terre


L'Univers électrique  ou Univers plasma est un nouveau modèle de l'univers  soutenu  principalement par le site d'information et d'éducation thunderbolts.info qui  offre un ensemble de guides didactiques et chaque jour une image astronomique commentée. Il est fondé par le physicien australien Wal Thornhill et animé par une équipe de scientifiques comprenant des spécialistes du plasma mais aussi des chercheurs qui interprètent des mythologies et des pétroglyphes comme témoignage humain de phénomènes électromagnétiques extraordinaires du passé, tels que des aurores ou foudres gigantesques ayant frappé la Terre lors d'affaiblissements de son bouclier magnétique.

Le modèle d'Univers électrique réfute les théories cosmologiques d'expansion de l'univers, de trous noirs, de matières noires ou d'énergies sombres fondées sur des interprétations et spéculations mathématiques. Il s'appuie sur l'observation astronomique et sur son interprétation par l'expérimentation avec le plasma. Il revient à l'espace illimité et soutient que le redshift élevé des quasars et galaxies n'est pas un effet Doppler justifiant une vitesse d'expansion mais qu'il est intrinsèque, dû aux énergies gigantesques du plasma de ces formations cosmiques

Les prédécesseurs et fondateurs

Kristian Birkeland (1867 - 1917) a mené des recherches sur les aurores boréales. Il pensait que l'espace est rempli de particules ionisées et que les aurores étaient des phénomènes électromagnétiques dont l'énergie vient du soleil. Il construisit en laboratoire un modèle de Terre électrisée de l'extérieur appelé Terrella, dont les expériences servent aujourd'hui encore à l'interprétation des phénomènes astronomiques. C'est seulement en 1973, que des satellites prouvèrent la nature électromagnétique des aurores, justifiant la théorie de Birkeland.

Hannes Alfvén (1908-1995). a reçu le prix Nobel de physique en 1970 pour sa contribution au magnéto-hydrodynamisme, Mais l'impact de Alfvén va bien au-delà des nouvelles technologies. Il a consacré une grande partie de sa vie à l'étude du plasma. Il s'est fait marginaliser en raison de ses critiques des conceptions mathématiques actuelles de l'astronomie et de la cosmologie qui sont fondées sur la seule gravité. Mais un grand nombre de ses interprétations restent valables. Il est le père reconnu de "la cosmologie du plasma," une nouvelle façon de comprendre les processus de formation de l'espace céleste. Cette cosmologie suggère que des courants électriques vastes, mais invisibles jouent un rôle fondamental dans l'organisation de la structure cosmique, des galaxies et amas de galaxies jusqu'aux étoiles et planètes.

Halton Arp, astronome (1927-2013) a interprété ses observations dans le sens  du comportement électromagnétique du plasma. Il a constaté que des quasars à redshift élevé, que la cosmologie du Big bang suppose aux confins de l(univers, sont souvent placés près ou devant des galaxies à redshift bas, ce qui suffit pour réfuter la théorie d'expansion de l'univers qui calcule l'âge de l'univers sur la base des redshits les plus élevés.. Arp a constaté que les galaxies sont regroupées en alignements et que les caractéristiques astrophysiques (redshift, vitesse, luminosité, densité) indiquent une évolution le long de l'alignement. Les galaxies semblent s'engendrer successivement les unes après les autres.
Arp est considéré comme le Galilée de notre époque. Les deux étaient des scientifiques éminents, les deux ont remis en question les conceptions de l'univers de leur époque. Galilée a réfuté le géocentrisme, Arp a réfuté le Big bang créateur et l'expansion de l'univers. Aux deux l'usage du télescope a été refusé.

Le plasma

L'univers est un espace sans limite constitué d'un réseau de galaxies formées d'une substance électriquement chargée appelée plasma. Le plasma est constitué de particules chargées libres comme les électrons, les protons ou autres ions. Il est considéré comme quatrième phase de la matière après les phases solide, liquide et gazeuse.
Il faudrait plutôt dire qu'il est le premier état de la matière. Le plasma ou éther-plasma est donc un milieu de particules chargées libres dont les éléments les plus fondamentaux sont des ondes stationnaires en boucle ou vortex. Ce milieu chargé a des propriétés électriques et magnétiques émergeantes très particulières.
Les filaments ou arcs électriques et les phénomènes lumineux qui les accompagnent dans l'expérience avec le plasma sont semblables aux images de galaxies.

Cosmologie

Aujourd'hui, des champs magnétiques sont détectés partout, même dans les profondeurs "vides" de l'espace intergalactique. Les champs magnétiques ne peuvent exister sans courants électriques. La force électrique est de 39 ordres de grandeur (mille milliards de milliards de milliards de milliards  fois) plus forte que la gravité. L'univers visible est constitué presque entièrement de plasma électro-actif.
Au XXe siècle, les pionniers de la science du plasma ont inspiré une nouvelle école d'investigation appelée cosmologie plasmatique. Les cosmologues du plasma suggèrent que l'électricité est la principale force organisant les galaxies spirales et les grappes galactiques étonnantes qu'on voit maintenant dans l'espace profond.
La cosmologie plasmatique a obtenu un succès surprenant dans la prédiction des grandes découvertes de l'ère spatiale. Cette nouvelle perspective n'exige pas d'inventions purement théoriques basées sur des hypothèses mathématiques comme le Big Bang, la matière noire, l'énergie noire, les étoiles à neutrons ou les trous noirs.
L'espace cosmique est rempli de plasma sous différentes formes selon la densité, la température et la tension électrique. La matière de l'univers est constituée à 99.9% de plasma. Le soleil et les étoiles sont constitués à 100% de plasma. Le plasma est donc constitué de particules chargées libres qui répondent très fortement à des champs électromagnétiques . Les charges libres font du plasma un milieu fortement conducteur d'électricité qui peut transporter des courants électriques et générer des champs magnétiques.
L'héliosphère, l'espace entourant le soleil, est un plasma se déplaçant dans un champ magnétique. Il génère son propre courant électrique et conduit l'électricité mieux que les métaux, L'éther-plasma forme un tourbillon électromagnétique, un fluide électrodynamique qui entraîne les planètes selon leur orbite, comme l'avaient justement compris Kepler et Maxwell.

La théorie Plasma-Universe représente ce vortex de la manière suivante. 

Cette conception est à mettre en rapport avec le gravitomagnétisme de Thierry De Mees  et la nature électromagnétique de la gravitation selon Edouard Bernal

Étoiles

L’Univers électrique étend les conclusions de la cosmologie plasmatique à la formation et à l'évolution des étoiles et de leurs satellites planétaires. Les étoiles sont formées aux intersections de filaments de courant galactique dans le plasma de l'espace poussiéreux. La taille d'une étoile et sa couleur sont déterminées électriquement et peuvent changer soudainement. Les novae et les supernovae sont la réponse explosive des étoiles à une poussée de puissance dans leur circuit galactique.
Les partisans de l'univers électrique suggèrent qu'il n'y a pas d'îles isolées dans l'univers. Tous les objets de l'espace, des particules subatomiques aux grappes galactiques, sont reliés par des manifestations de la force électrique agissant en temps réel.
Le modèle standard du Soleil supppose que la pression au cœur du Soleil provoque une réaction thermonucléaire. Les partisans de ce modèle disent que ce four thermonucléaire fait briller le Soleil. Par contre, le modèle du soleil électrique considère que des réactions thermonucléaires se produisent à la surface du Soleil ou à proximité de celle-ci, où se passe l'échange maximal entre le Soleil et son environnement extérieur. C'est l'électricité qui dynamise les étoiles, y compris le Soleil, sous forme de décharge lumineuse. Cette source d'énergie externe explique pourquoi la température du soleil augmente au-dessus de la photosphère à des températures coronales de 2 millions de degrés. De puissants effets de rétroaction maintiennent une production constante de rayonnement solaire visible tandis que les variations de puissance d'entrée apparaissent dans le cycle familier des taches solaires.
C'est la nature d'une décharge lumineuse qui fait que toutes les étoiles possèdent un champ électrique faible au-delà de la corona. Alors que les particules chargées du vent solaire s'éloignent du Soleil, elles continuent d'être accélérées en raison du champ électrique du Soleil, qui s'étend jusqu'à l'héliopause.

Comètes

Les comètes sont des corps électriquement chargés se déplaçant sur des orbites elliptiques à travers le champ électrique interplanétaire du Soleil. À l'approche du Soleil, le mouvement radial rapide de la comète  développe des arcs électriques sur le noyau. Les arcs produisent des jets de poussières et d'ions qui forment le coma et les queues visibles.
De nombreuses comètes sont des roches solides avec des surfaces sèches. Les formes nettement découpées des noyaux de comètes montrent clairement qu'ils ne sont pas des «boules de neige sales» sublimant dans le Soleil. En raison de la force électrique, une comète peut entraîner une masse d'hydrogène du Soleil (protons du vent solaire) supérieure à la masse du noyau de la comète. Les rayons X inattendus d'une décharge cométaire peuvent atteindre 2 millions de degrés.
Les noyaux cométaires révèlent des surfaces creusées profondément de cratères et noircies à cause des arcs électriques. Puisque les noyaux de comètes sont érodés électriquement, ils ne pourraient pas survivre à travers des éons de l'histoire du système solaire et ont pu avoir été produits beaucoup plus récemment que proposé dans le modèle standard.

Planètes
Dans l'histoire récente du système solaire, son environnement électrique a changé. Sous des conditions électriques changeantes, les orbites planétaires ont également changé. Les rapprochements serrés entre planètes ont conduit à de puissants arcs électriques entre les planètes et leurs satellites. Tous les corps rocheux dans le système solaire montrent les cicatrices massives de ce genre d'événements électriques. C'est le cas de la comète Tchouri.
La scarification par décharge électrique se produit même maintenant sur la lune la plus proche de Jupiter, Io, et sur la lune de Saturne, Enceladus. L'activité électrique se poursuit sur Mars, entraînant des "diables de poussière" de la taille du mont Everest - créés par le différentiel électrique entre la surface de Mars et l'espace environnant.
Tous les aspects dominants de la surface de Mars montrent les formes caractéristiques de décharges électriques, suggérant que dans le passé une grande quantité de matériel a été excavé électriquement de Mars. Les partisans de l'Univers électrique suggèrent qu'il s'agissait d'un arc interplanétaire qui a créé le Marian Valles Marineris, la plus grande cicatrice connue sur une planète solide. Une grande partie du matériel rocheux explosé de Mars est devenu comètes, astéroïdes et météorites.

Champ magnétique terrestre
La couronne solaire électromagnétique n'a pas de frontière précise et se fond dans le milieu interplanétaire. Son expansion se manifeste par un flot de matière ionisée qui baigne tout le système planétaire.
Le vent solaire est observé et mesuré depuis une trentaine d'années. Il interagit avec le bouclier magnétique terrestre, un immense champ magnétique qui entoure la Terre. Le champ magnétique varie en intensité et en extension en fonction du vent solaire selon cette animation de wikipedia qui modélise la variation face à une tempête de "vent solaire".

Les explorations par satellite ont fait découvrir en 1958 que la magnétosphère de la Terre est formée de couches appelées ceinture de Van Allen. Il s'agit d'une zone toroïdale de radiations entourant l'équateur magnétique de la Terre et contenant une grande densité de particules énergétiques. La rencontre de ces particules avec les molécules de la haute atmosphère terrestre est à l'origine des aurores boréales.
Le magnétisme terrestre varie sans cesse en intensité et en direction, au point de s’inverser parfois. On admet que la dernière inversion remonte à 780 000 ans. Mais à part les inversions durables, il existe des inversions passagères appelées excursions magnétiques. On le sait par la mesure du magnétisme des roches volcaniques. Quand les roches volcaniques sont chaudes, au-delà d’une certaine température dite, elles ne présentent plus aucune aimantation. Mais en refroidissant, les cristaux s’aimantent suivant le champ magnétique terrestre, et se figent. Grâce à ces données, on sait désormais que les boussoles ont basculé plus de trois cents fois depuis 200 millions d’années. On a constaté des périodes de stabilité de 30 millions d’années, tandis que des inversions se sont produites à quelques centaines de siècles d’intervalle.

Inversions du champ magnétique

On admet que la dernière inversion remonte à 780 000 ans. Mais à part les inversions durables, il existe des inversions passagères appelées excursions magnétiques. Depuis cinquante mille ans il y a eu quatre excursions bien documentées (appelés selon les sites étudiés Laschamp Lake Mungo, Mono Lake et Götenburg), une environ tous les 12'500 ans. La dernière date d'il y a 12900 ans, elle a causé l'âge glaciaire du Dryas Récent et a causé l'extinction de 72% des grands mammifères, dont le mammouth et de 10% des petites espèces, dans l'hémisphère nord.

Cratères

L'affaiblissement du bouclier magnétique  ou la proximité d'un autre corps massif, comète ou astéroïde sont susceptible de provoquer des arcs électriques cosmique entre l'espace et la Terre, dont les impacts forment des cratères comme ceux que l'on voit sur tous les corps célestes, lune, comètes, astéroïdes. La forme de ces cratères est pareille à celles que produisent les arcs électriques en laboratoire. Les scientifiques d'Univers le démontrent: les cratères sont électriques.

Des dépressions elliptiques multiples sont connues sous le nom de Carolina bays parce qu'on les a étudiées sur la côté est des Etats-Unis. On en trouve aussi ailleurs, dans des zones humides en Alaska et en Sibérie. On n'y a jamais trouvé d'éclats de météores mais typiquement des nanocristaux de diamant et de l'Iridium. Les géologues les attribuent les baies à des érosions dues au vent et à l'eau en zones humides. Mais on en trouve aussi dans une zone désertique en Australie. Avec Google Earth on peut observer une telle zone particulièrement tourmentée où se trouve le fameux Wave Rock bien connu des touristes.



Témoignages

Sur le site http://mythopedia.info/  Mythopedia, une introduction à la mythologie  du plasama, M. A. van der Sluijs étudie les mythes et cosmologies traditionnelles comme des témoignages d'anciens événement cosmiques ayant causé des destructions mémorables ou des apparitions bizarres dans le ciel, telles que "le ciel bas" ou une "échelle vers le ciel".

Anthony L.Perratt, spécialiste du plasma qui fait partie de l'équipe du projet thunderbolt, a constaté que les peintures rupestres représentent avec une grande fidélité et précision des phénomènes lumineux qu'il observe en laboratoire avec des courants de plasma de très haute intensité. Selon l'intensité progressive du courant de plasma, on observe d'abord des formes en boucles chaotiques qui se regroupent en une colonne à segments de forme toroïdale appelée "chenille" caterpillar) ou "échelle" (ladder). Par la similitude et leur présence sur tous les continents, il considère les pétroglyphes comme des témoignages anciens d'événements cosmiques.



 

Wallace Thornhill conclut dans le livre, Thunderbolts of the Gods:

De la plus petite particule à la plus grande formation galactique, un réseau de circuits électriques relie
et unifie toute la nature, organisant les galaxies, énergisant les étoiles, donnant naissance à des planètes et, sur notre propre monde, contrôlant la météo et animant les organismes biologiques. Il n'y a pas d'îles isolées dans un univers électrique.