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RYTHMODYNAMIQUE
Unification de
mécanique classique, mécanique quantique et relativité
1 - Axiome et postulats
Yuri N. Ivanov comme
bien d'autres
chercheurs contemporains, réclame le retour à un espace qui a une
réalité
physique et des propriétés physiques (comme cela est implicitement
admis en
mécanique quantique), principalement celle d'être le milieu de
propagation
d'ondes à la vitesse constante c de la lumière.
Il commence par là où toute science devrait commencer, par une
réflexion sur
les principes et conditions fondamentales de la connaissance. Il ne se
contente
pas de l'affirmation que l'univers est fait de matière et que les
propriétés de
la matière telles que mouvement, masse, charge etc. sont des faits
inhérents à
la nature. Pour la physique, les conditions de la connaissance sont
incontestablement l'espace, le temps, et le mouvement dont résultent
secondairement les notions antagonistes d'inertie (masse), de force ou
d'énergie.
Ivanov énonce ces conditions par un
axiome de fondation et trois
postulats.
Axiome de Fondation:
Il existe une
fondation de la connaissance sous forme de support pour
construire (représenter) des points, lignes, plans, cercles et formes
de deux
et de trois dimensions. Les points, lignes, plans, cercles et les
formes de
deux et de trois dimensions ne peuvent pas être construits sans
support, même
s'il s'agit d'un support imaginaire.
Ivanov place la géométrie à l'origine
de toute théorie physique. Il
revient au bon sens et à la sagesse antique des platoniciens:
"Que
nul n'entre ici s'il n'est géomètre".
C'est une évidence que tout objet physique et tout mouvement repose ou
se
déroule dans un espace. Ivanov replace
la physique dans son
environnement naturel. L'espace est le référentiel absolu, sans limite
définie.
Il est le support commun des objets et de l'observateur. Il permet de
décrire
le mouvement, étant lui-même stationnaire. Sans être matériel, il a des
propriétés physiques comme la vitesse limite de la lumière.
De cet axiome de fondation résultent les trois postulats d'Ivanov :
Les trois postulats:
1) un objet élémentaire
hypothétique sans masse ayant la propriété d'un
oscillateur, provoquant des vibrations de l'environnement sous forme
d'ondes
périodiques,
2) un milieu qui transforme les vibrations des oscillateurs en
propagation
d'ondes sphériques, assurant la vitesse constante des perturbations par
rapport aux
sources stationnaires, et constituant un référentiel fixe,
3) une interaction (ou interférence) lorsqu'au moins deux oscillateurs
forment
un système d'oscillateurs.
Ivanov n'attribue pas de structure ou
organisation à l'espace, milieu d'ondes.
L'inertie, les amplitudes ou les distributions d'énergie ne sont pas
des
propriétés des oscillateurs élémentaires mais émergent comme propriétés
des
systèmes d'oscillateurs.
Ivanov admet cependant l'existence
d'un certain nombre de
conditions auxiliaires pour construire des systèmes de physique
géométrique.
Par exemple chaque oscillateur recherche une zone de repos, un creux de
potentiels d'énergie vibratoire du milieu qu'il suit constamment dans
son
évolution. Cette condition explique l'harmonie des phases de Louis
de
Broglie à laquelle se rallient les découvertes
théoriques et
expérimentales d'Ivanov à propos du comportement des ondes
stationnaires.
Il faudrait ajouter à cela l'existence d'un espace minimal entre creux
potentiels correspondant à la dimension de Planck.
Celle-ci peut
être considérée comme une propriété limite fondamentale de l'espace
comme la
vitesse limite de la lumière.
Puisque la vitesse de la lumière est constante dans un espace
stationnaire, le temps est nécessairement constant aussi.
II – Onde
stationnaire animée d'Ivanov et onde de phase
Propagation d'onde dans le milieu d'onde
La propagation des ondes de
toute nature subit l'effet Doppler en fonction de
la vitesse de la source par rapport au milieu. Si la source est
immobile, les
ondes ont la même fréquence et longueur d'onde dans toutes les
directions: Dans
le cas d'un mouvement dans le milieu, les fréquences et longueurs
d'onde
varient selon l'angle d'observation.

Ivanov a surtout étudié le comportement des ondes stationnaires en
fonction de
la vitesse de leurs sources dans le milieu d'ondes.
Onde stationnaire.
Selon ce schéma de Wikipedia, l'onde stationnaire est
la superposition de deux
ondes progressives de sens de propagation opposés

Les points rouges marquent les nœuds ; les points d'amplitude maximale
sont les
ventres
Les noeuds et les ventres résultent de l'addition des deux ondes de
sens
contraire. La distance entre deux nœuds est la longueur d'onde
stationnaire;
elle est égale à une demie longueur des ondes composantes.
Onde stationnaire animée de Yuri Ivanov.
Ce qui est peu connu et
qu'Ivanov à découvert, c'est que les ondes
stationnaires peuvent se déplacer. Lorsque le système d'oscillateurs
reliés par
une onde stationnaire se déplace dans la direction de leur alignement,
les
ondes de sens contraire ont alors des longueurs d'onde différentes. Les
oscillateurs sources ont toujours la même fréquence. Mais par effet
Doppler,
les longueurs ondes qui se propagent vers l'avant sont comprimées; vers
l'arrière, elles sont dilatées.

Cette animation montre une onde stationnaire en mouvement vers la
droite. La
fréquence d'émission des deux oscillateurs est égale et constante mais
les
ondes qui se propagent à vitesse constante dans le milieu ont des
longueurs
d'onde différentes selon la direction.
La longueur de l'onde allant en direction du mouvement, vers la droite
(courbe
rouge) diminue. Inversement la longueur de l'onde qui se propage en
sens inverse de droite à gauche augmente (courbe verte). La combinaison
des
deux ondes forme une onde stationnaire dont les nœuds se déplacent
(courbe
noire) à vitesse constante.
Onde de phase
De plus le déplacement rapide
des bandes colorées vers la droite représente
l'onde de phase de Louis de Broglie. La moyenne géométrique des
vitesses de
l'onde stationnaire et de l'onde de phase est égale à la vitesse de
propagation
de l'onde.
La formule Vφ. v = c2; ou
Vφ = c2/v,
signifie que l'onde de phase a une vitesse proche de l'infini pour une
vitesse
v d'onde stationnaire proche de zéro. L'onde de phase de Louis de
Broglie, qui
ne transporte pas d'énergie, transporte pourtant l'information qui est
à
l'origine des corrélations globales indépendantes de la vitesse de la
lumière
appelées inséparabilité ou intrication quantique.
Tout est la conséquence d'un décalage de phase entre ondes de sens
opposés
composant l'onde stationnaire. Le décalage de phase explique
le mouvement
des corps à vitesse constante, il est la cause même du mouvement.
Unification des formules classiques, quantiques et
relativistes.
La
relation fondamentale entre vitesse et décalages de phase
permet,
par de nouvelles formules, de faire le lien unificateur entre la
mécnique classique, la mécanique ondulatoire (Rythmodynamique) et la
relativité révisée. Ainsi la transformation de Lorentz appliquée aux
ondes stationnaires peut être exprimée en fonction du décalage de phase:
donc

===>

III -
Relativité
révisée d'Ivanov.
Changement du référentiel:
du référentiel de l'observateur au référentiel absolu
L'expérience
de Michelson-Morley n'a pas réussi à mesurer la
vitesse
de la Terre. Elle n'enregistrait aucune addition de la vitesse de la
Terre à
celle de la lumière qui restait constante dans toutes les directions. A
la
suite de cette expérience, Einstein a simplement
rejeté le concept d'éther
comme milieu de propagation d'ondes électromagnétiques. Il a inventé le
photon
pour expliquer la propagation de la lumière dans l'espace vide.
La mécanique quantique a révélé que l'espace n'est pas vide mais plein
d'énergie. Il s'y passe des évènements, des "fluctuations" qui créent
des particules. L'intrication ou inséparabilité quantique signifie que
l'univers est un tout, ce qui exige un milieu ou référentiel commun. La
relativité d'Einstein est incompatible avec les acquis de la mécanique
quantique.
De plus en plus de scientifiques critiquent la relativité restreinte
qui ne
peut plus être soutenue que par des arguments d'autorité.
Sur la base de son axiome de fondation qui réhabilite l'espace comme
porteur
d'ondes et appliquant ses découvertes expérimentales au sujet des ondes
stationnaires, Ivanov a révisé les conséquences de
l'expérience de Michelson et
formulé une nouvelle relativité. Celle-ci explique aussi les propriétés
de la
matière et du mouvement.
Dans la relativité restreinte d'Einstein, le référentiel principal est
le
référentiel galiléen de l'observateur. Elle tient compte seulement de
la
vitesse relative des objets. C'est comme si le pilote d'un avion ne
tenait
compte que de la vitesse relative d'un autre avion, sans tenir compte
de la
vitesse de chaque avion par rapport à l'air qui les porte.
L'application des
transformations de Lorentz aux changements de référentiels, sans tenir
compte
du milieu, a nécessité des modèles mathématiques inutilement
compliqués.
Révision de l'expérience de
Michelson.
À
l'origine, la transformation de Lorentz était destinée à expliquer
l'échec de l'interféromètre par une contraction des bras de
l'interféromètre en
fonction de la vitesse. Mais Lorentz n'avait aucun argument physique
pour
expliquer cette contraction. Ivanov par contre a découvert le mécanisme
physique de cette contraction: La matière cristalline ou les molécules
sont
constitués par un réseau d'ondes stationnaires qui relient les atomes.
Lorsqu'un corps matériel est en mouvement, il rétrécit globalement et
proportionnellement à la contraction de son réseau d'ondes
stationnaires
constitutives.
Par conséquent l'interféromètre de Michelson rétrécit dans les mêmes
proportions que les ondes qu'il est censé mesurer, en fonction de la
vitesse de
la Terre dans l'espace absolu; il ne peut donc pas mesurer cette
vitesse.
La transformation de Lorentz est fondée simplement sur une moyenne géométrique
entre les longueurs d'onde transformées par effet Doppler, rétrécies à
l'avant
et dilatées à l'arrière d'un oscillateur en mouvement.
Pour calculer les transformations relatives de deux oscillateurs qui
sont tous
deux en mouvement par rapport au milieu ou espace commun, comme dans le
cas de
deux avions, il faut utiliser une autre formule basée sur la moyenne
harmonique, en y ajoutant une correction tenant compte de
l'angle entre les
directions des mouvements relatifs des deux observateurs. Ivanov
obtient ainsi
cette formule qui s'applique aux ondes stationnaires.

.La relativité d'Ivanov ne réfute pas la relativité
de Poincaré-Lorentz,
utilisée par Einstein sur la base du référentiel de
l'observateur.
Elle la place dans un référentiel plus général, celui de l'espace
physique
absolu, milieu de propagation d'ondes, auquel le référentiel de
l'observateur
est subordonné.
Les conséquences sont importantes: Ce n'est pas l'espace-temps (modèle
purement
mathématique) qui se contracte. Espace et temps restent constants et
absolus.
C'est l'observateur, le physicien et son instrument, qui se contractent
en
fonction de leur vitesse par rapport au milieu d'ondes. En système
fermé dans
son référentiel galiléen contracté, le physicien n'est pas conscient de
sa
transformation et ne peut pas mesurer sa vitesse par rapport au milieu
avec son
interféromètre qui subit la même transformation.
L'homme n'est plus le référentiel absolu auquel espace et temps se
plient. Il
redevient un objet comme les autres, se pliant au référentiel cosmique
absolu
en fonction de son propre mouvement.
Les formules de
la relativité des objets en mouvement
La
contraction de
Lorentz résulte d'une moyenne géométrique des ondes contractées à
l'avant (1 –
β) et dilatées à l'arrière (1+ β).
, où β = v/c

La contraction d'Ivanov prend en compte la vitesse de deux oscillateurs
par
rapport au milieu. Elle résulte d'une moyenne harmonique de deux
nombres:
(wikipedia)
Appliqué aux longueurs d'onde stationnaire de Ivanov, cela donne:
(le 2 disparaît parce que
la longueur
d'onde stationnaire est la demi-longueur de base des ondes composantes)
En appliquant la transformation de Lorentz à chaque onde stationnaire
et en
tenant compte de l'angle entre la direction du mouvement et
l'observateur,
Ivanov obtient la formule générale suivante pour les ondes
stationnaires:

La
longueur d'onde stationnaire est fonction de la vitesse et de l'angle
entre
direction du mouvement et alignement des oscillateurs selon la formule
d'Ivanov:
Si les oscillateurs sont alignés dans la direction du mouvement,
l'angle est 0°:
;
si les oscillateurs se meuvent de front, l'angle est 90°:
.
La formule donne une contraction dans toutes les directions, plus
sévère dans
la direction du mouvement.
On se demandera pourquoi il
faut un support absolu puisque la physique à pu se
développer sans lui? Jusqu'en 1905 la question ne se posait pas, parce
que
personne ne remettait en question l'existence d'un espace absolu. Au
fait la
physique a continué à employer des synonymes de support tels qu'espace
physique
vide. Mais tôt ou tard il faudra clarifier les positions: si l'on
reconnaît un
support commun, toute chose se positionne par rapport à lui comme
référentiel.
Si le support commun est rejeté, l'anarchie s'installe où chacun peut
inventer
son propre fondement mathématique.
En effet, le principe de relativité d'Einstein,
fondé sur l'invariance
et indépendance des référentiels galiléens, est incompatible avec la
mécanique
quantique qui admet l'inséparabilité. L'espace physique commun et le
comportement des ondes stationnaires dans l'espace est capable de
résoudre ces
contradictions.
IV - Matière en
mouvement: vitesse, accélération et auto-organisation
Pour
la physique contemporaine, la matière et le mouvement font partie des
propriétés fondamentales de la nature, des propriétés inhérentes,
innées qui
ne nécessitent pas d'explication; elles sont au-delà de la
compréhension
humaine. Mais il n'en est pas ainsi. Les phénomènes vibratoires
révèlent non
seulement la nature du mouvement mais aussi les manifestations qui
l'accompagnent:, l'inertie, la force, l'auto-organisation.
La nature de la
matière
Il
n'y a pas de matière sans mouvement et pas de mouvement sans matière.
Il
faut donc comprendre d'abord ce qu'est la matière. Le mouvement est une
forme
d'existence de la matière.
Depuis Louis de Broglie
on admet qu'une onde est associée à chaque particule.
L'onde émise à la vitesse de la lumière par une particule est renvoyée
par les
particules voisines suivant le principe
de Huygens. Il se forme ainsi un réseau d'ondes
stationnaires qui
réunissent les atomes dans la matière cristalline ou moléculaire.

Ivanov a démontré expérimentalement sur les ondes mécaniques et les
ondes
sonores que les longueurs d’ondes stationnaires se contractent en
fonction de
leur vitesse par rapport au milieu d’onde. (lien)

Dans le système d'oscillateurs en mouvement, les longueurs d'onde sont
raccourcies vers l'avant et rallongées vers l'arrière, leur addition
forme une
onde stationnaire raccourcie
Ivanov explique qu'il n'y a pas de raison pour que les ondes
électromagnétiques
ne se comportent pas dans leur milieu de la même manière que les ondes
sonores
dans l'air. En,effet, l'impulsion sonore est transmise d'un atome à
l'autre par
des champs électriques et magnétiques; dans ce sens, le son est de
nature
électromagnétique. Les ondes sonores sont convertibles en lumière et
ondes
électromagnétiques, et inversement, comme le démontrent les
technologies
"acousto-optiques".
Nature du mouvement
Dans
le réseau d'ondes électromagnétiques stationnaires que constitue la
matière, les nœuds d'ondes stationnaires sont des "creux potentiels".
Les oscillateurs (atomes) cherchent à occuper ces "creux potentiels"
qui sont des positions d'équilibre stable entre les pressions
vibratoires des
ventres d'onde stationnaires. Ils sont entraînés par le mouvement des
ondes
stationnaire du système.

(zones d'équilibre stable (creux potentiel) et instables)
Or les ondes stationnaires en mouvement sont caractérisées par le
décalage de
phase des ondes associées qui cause la contraction des ondes
stationnaires et
une réduction des dimensions.
Par conséquent la cause du mouvement continu et rectiligne de la
matière est le
décalage de phase interne qui se produit en fonction de la vitesse.
Le mouvement est une adaptation des fréquences du
système d'oscillateurs aux
fréquences d'ondes que sa vitesse provoque dans le milieu d'onde. C'est
une
adaptation d'un système ouvert à son environnement.
Trois états
d'équilibre ou de quiescence.
Les
atomes suivent les creux potentiels correspondant aux noeuds de l’onde
stationnaire qui les relie pour maintenir un état d'équilibre ou de
quiescence.
La RD distingue trois
états de quiescence des particules
oscillantes occupant les
creux potentiels ou nœuds de l'onde stationnaire: le voyageur ne sent
aucune
contrainte, aucune force extérieure dans chacun de ces états.
- Le premier est l’état de
repos où la vitesse est nulle par rapport au
milieu d’onde. Il n’y a pas de décalage de phase ou de fréquence:
- Le second est le
mouvement rectiligne à vitesse constante. Le décalage de
phase est constant, différent de zéro.
- Le troisième concerne
l'accélération gravitationnelle constante. Elle se
produit dans le gradient de fréquences constant du champ
gravitationnel. Le différentiel de fréquence est
constant.
Formules:
Premier état de quiescence: état stationnaire
deux oscillateurs au repos (stationnaires) de même fréquence sont en
phase;
leur distance correspond à un nombre entier de longueurs d'onde
stationnaire: V
= 0
;

Deuxième état
de quiescence: mouvement régulier rectiligne de translation.
La vitesse est constante: V > 0 constant.
Il y a un décalage de phase constant:
;
;
;
Troisième état
de quiescence: accélération constante gravitationnelle.
L'accélération constante dans un gradient de décalages de phase
correspond à la
chute libre dans le champ gravitationnel.
Le différentiel de fréquence est constant:
Gravitation
a
science moderne attribue la gravitation à un champ et formalise l'effet
d'accélération par une courbure de l'espace. La nature du champ de
force
attribuée à la densité de matière n'est pas claire et il n'est pas
clair non
plus par rapport à quoi l'espace serait courbé.
L'accélération gravitationnelle est un fait, le champ de forces est une
supposition, une hypothèse. C'est pourquoi Ivanov ne se prononce pas
sur la
nature du champ gravitationnel qu'il présuppose néanmoins comme une
"forme
spéciale de matière". Il trouve plus logique de clarifier d'abord ce
qui
change dans le corps qui accélère en chute libre. Selon l'explication
du
troisième état de quiescence, l'accélération suppose un gradient de
fréquences.
Celui-ci exige une autre théorie, qui sera un autre sujet de discussion.
Auto-organisation
L'auto-organisation
est à l'origine de toute existence, de toute structure
depuis la particule sous-atomique jusqu'à la formation des
galaxies, en passant par les atomes et molécule complexes.
La RD considère l'auto-organisation sous l'aspect de l'adaptation des
longueurs
d'ondes stationnaires qui relient les oscillateurs. Chaque oscillateur
du
système mobile cherche ou suit un creux potentiel du champ d'ondes de
son
milieu qui est lui-même modifié par la vitesse des oscillateurs.
L'auto-organisation est l'adaptation interne des longueurs d'ondes
stationnaires des corps aux longueurs d'onde du champ d'onde
environnant. C'est
une interférence entre le réseau d'atomes des structures avec les
champs électromagnétiques
de l'environnement et que Louis de Broglie appelait harmonie des phases.
V
- Conceptions nouvelles de l'énergie et de la propulsion.
Force et inertie.
La force est la cause du
changement de vitesse, de l'accélération ou de la
décélération. Le cas de la gravitation indique que la force est la
conséquence
d'un décalage de phase des oscillateurs et d'une différence de
fréquence des
ondes stationnaires à l'intérieur du système. La force réside dans la
tendance
des éléments du système d'éliminer les décalages intervenant entre ses
atomes
oscillateurs avec leur propre creux potentiel. Ce décalage est éliminé
par la
pression d'onde en direction du creux potentiel décalé. Bref, la force
du
mouvement émerge à l'intérieur du corps.
Si les éléments ont la possibilité de se déplacer librement vers leurs
creux
potentiels décalés, le système se déplace comme dans l'accélération
gravitationnelle. Si le système est empêché, le blocage est sous
l'influence
d'une force. L'objet empêché a une "sensation" d'inertie lorsqu'une
force externe n'est pas appliquée à tous les éléments en même temps
mais
seulement à quelques uns en surface. Si elle était appliquée à tous les
éléments
simultanément, comme cela est le cas dans la gravitation, la sensation
d'inertie serait absente.
L'inertie est la tendance du corps à résister à l'impact jusqu'à ce que
les
éléments capables d'auto-synchronisation entrent dans un nouveau régime
de synchronisation.
Cela prend un certain temps, dû à la vitesse de transmission des
impulsions à
tous les atomes, pendant lequel se produit la sensation de résistance
ou
inertie qui est proportionnelle au nombre d'atomes ou d'ondes concernés.
Action sans réaction.
La mécanique classique basée
sur les lois de Galilée-Newton, quoique
considérées comme non contredite, n'explique pas le principal: les
processus
internes qui forment l'essentiel des phénomènes que ces lois décrivent;
Il y a
une autre voie de la science, la mécanique quantique qui cherche à
expliquer
les processus internes. Ces deux directions n'ont pas de lien logique.
La troisième loi du mouvement de Newton est formulée ainsi:
A chaque action est toujours opposée une égale réaction:
ou les deux actions
réciproques de deux corps l'un sur l'autre sont toujours égales et de
direction
contraire.
Les disciples de Newton interprètent la troisième loi littéralement
dans le
sens que dans la nature il n'existe pas d'action unilatérale, qu'il y a
toujours interaction d'un corps sur un autre. Faut-il en conclure qu'il
n'y a
pas de situation d'action sans réaction?
Il faut souligner que la 3ème loi
s'applique strictement aux
systèmes fermés où action et réaction ne sont pas dissipées mais
pleinement
réalisés à 100%. Mais les systèmes évoluent dans un milieu ouvert et
dans la
réalité, des phénomènes se produisent qui paraissent insolites,
paradoxaux.
Ivanov présente quelques expérimentations simples d'action
sans
réaction, d'interaction avec le milieu et en particulier d'interaction
entre
système et milieu en décalages de phase.
Démonstrations
expérimentales.
Deux
exemples d'action sans rétroaction:
Expérience 1: – Peut-on propulser un
voilier en faisant souffler dans sa voile un
ventilateur fixé sur la coque? La réponse attendue est non, parce que
la voile
et le ventilateur font partie du même système: action et réaction se
compensent.
Pourtant Ivanov a réalisé l'expérience pour son plaisir et celui des
enfants et amis et
son bateau miniature atteignait une vitesse de 3 km/h.

Expérience 2: – Un double jet d'air
en sens opposés, vers le haut
et le bas, se tiennent en équilibre. La boule lourde suspendue dans le
jet
d'air n'exerce aucune pression sur la source. Cela se produit parce
qu'il n'y a
aucune relation arrière de la boule sur la source. La boule est
suspendue par
l'énergie cinétique qu'elle reçoit mais ne peut pas influencer la
source à
travers le jet.


En exerçant une pression sur la boule pour la rapprocher de la source,
celle-ci
n'est pas influencée et reste en équilibre.

Après changement de position, ou en variant le poids de la boule, le
balancier
retrouve toujours sa position d'équilibre.
Trois exemples de mouvements par décalages de phase interne sans force
de
propulsion externe:
Expérience 3: - Un exemple virtuel en
animation montre une barque
où un homme jette une pierre vers la droite. Il provoque en réaction,
une
impulsion en sens inverse vers la gauche qui fait avancer le bateau.
Lorsque
deux acteurs jettent des pierres dans les directions opposées en même
temps,
les impulsions sont en phase et la barque ne bouge pas. S'ils jettent
les
pierres alternativement avec un intervalle de temps, la barque avance
un peu
après la première impulsion puis s'arrête à la seconde impulsion de
direction
opposée. En répétant ces impulsions, en décalage de phase, la barque
avance
dans une même direction.

Expérience 4: - Des essais avec des
ondes électromagnétiques dans
l'espace cosmique, leur milieu naturel, sont difficilement réalisables.
Mais
des essais dans le milieu visqueux de l'eau ont été réalisés.

La vidéo montre deux oscillateurs reliés dont les fréquences sont
réglées
séparément, qui provoquent des ondes en surface. En phase, ils
n'avancent pas,
en décalage de phase ils avancent dans une direction dépendant du taux
de
décalage.
Expérience 5: - Il existe des
micoorganismes qui se meuvent dans
l'eau sans flagelles ni cils vibratiles, uniquement par les vibrations
en
décalages de phase de la capsule.

Cette image montre un microorganisme appelé naviculae qui se déplace
uniquement
par les vibrations hors phase de sa coquille de quartz. Sur la base de
sa
longueur et de la vitesse du son dans l'eau on a calculé une fréquence
de 15
mHz.
Conclusion.
Le mouvement n'est pas
nécessairement initié par quelque
action extérieure. Il existe un autre moyen qui ne nécessite pas une
telle
action.
Le système de sources se
déplace dans le milieu de manière
constante et rectiligne lorsque certaines relations se réalisent entre
les
éléments actifs du système et le milieu environnant. Elles sont
caractérisées
par un décalage de phase et
des
changements dans le milieu. Les changements du milieu et le décalage de
phase
constant ne participent pas seulement au mouvement uniforme, ils le
soutiennent
aussi.
VI - Conclusion et
perspectives d'application.
Refondation de la physique théorique
La
Rythmodynamique
reprend la mécanique ondulatoire là où l'a laissée Louis de Broglie
dont les
travaux ont été négligés suite aux interprétations relativistes de
l'expérience
de Michelson et à l'invention par Einstein du photon et des bosons qui
devaient
justifier la propagation de la lumière et de l'énergie dans l'espace
considéré
comme vide.
Comme
d'autres
théories alternatives semblables, la Rythmodynamique explique l'univers
et la lumière sur la
base d'ondes se propageant dans un milieu de propagation d'onde à la
vitesse de
la lumière. Elle réhabilite l'espace physique absolu que les anciens
appelaient éther. Les théories ondulatoires ouvrent une nouvelle ère
pour la physique.
Mais
ce qui
distingue la Rythmodynamique des autres théories, c'est d'abord la
formulation
claire d'un axiome de fondation et de trois postulats sur une base
épistémologiques.
Cette base et son application rigoureuse ont conduit à la découverte
d'abord
théorique puis expérimentale des ondes stationnaires et de leur
comportement
dont dépendent les propriétés de la matière et du mouvement. Cette base
simple,
fondée sur le principe d'unité cosmique, conduit tout naturellement à
l'unification des domaines restés incompatibles de la relativité et de
la
mécanique quantique. Un seul algorithme de phase-fréquence a été créé
dans le
cadre duquel l'ensemble des phénomènes naturels considérés comme des
faits
reçoit une explication causale unique.
Nouvelles technologies
Mais la Rythmodynamique
n'est pas une physique
théorique ou virtuelle fondée sur les mathématiques. Elle est une
physique
expérimentale avant tout. Yuri Ivanov a démontré par des
expérimentations
aussi simples
qu'ingénieuses les mécanismes ondulatoires à l'origine de
phénomènes inexpliqués ou inconnus.
L'interaction
des
réseaux d'atomes oscillateurs de la matière avec les ondes de leur
milieu conduit
à une physique des systèmes ouverts, une physique compatible avec la
biologie. En
effet, la compensations de décalages
de
phase donne l'explication de la création de structures géométriques
complexes dont la
seule thermodynamique ne peut pas rendre compte.
La
Rythmodynamique fait découvrir le
mécanisme du flux d'énergie. Elle fait comprendre que tout mouvement
est avant
tout le flux d'une énergie localisée sous forme de structures
matérielles. Il reste
à trouver le moyen de contrôler cet état d'énergie interne. De telles
solutions
d'ingénierie conduiraient à des propulsions autres que celles, peu
économiques,
fondées sur la thermodynamique. Ces technologies pourraient inventer
des
propulsions plus performantes et non polluantes et une nouvelle qualité
du
contrôle des déplacements selon la direction et la vitesse désirée.
Ivanov
propose, pour
commencer, deux projets majeurs.
1 –
La propulsion
par l'utilisation de forces internes peut être réalisée par des
glissements de
phase entre la carcasse et la structure interne du système. Un modèle
expérimental concret a été conçu, un prototype de véhicule spatial (non
réalisé
par manque de ressources) qui pourrait s'avérer viable et prometteur
pour le
futur. Si un tel engin produisait
une accélération
constante de 1 cm/s2 pendant 3o jours, il
couvrirait une distance de
33.6 millions de kilomètres.
2)
Le modèle rythmodynamique de
flux d'énergie révèle l'aptitude de l'énergie à rester dans un état
sans
amplitude, ce qui ouvrirait de nouvelles perspectives pour la
production, le
transport et l'utilisation d'énergie électromagnétique évitant les
gaspillages
de cette énergie propre.
La
Rythmodynamique et Ivanov n'attendent plus que des investisseurs
clairvoyants et de jeunes physiciens ingénieux pour réaliser des
applications technologiques apportant un progrès réel de la qualité de
vie.